Auteur : Michael Grant Edition : PKJ Nombre de pages : 456 |
Il y a maintenant plus d'un an que tous les adultes ont disparu...
Mais Gaïa, elle, est toujours là, et sa soif de destruction est intacte. Pour empêcher le monde de tomber sous son emprise, de douloureux sacrifices seront nécessaires. Des ennemis jurés seront contraints de s'allier... pour une ultime bataille.
Les enfants de Perdido Beach parviendront-ils à survivre et comprendre, enfin, ce qui s'est vraiment passé dans la Zone?
Franchement, j’ai eu peine à croire que j’avais fini cette saga et que je ne trouverai plus les personnages qui la peuplent. Comme d’habitude, on se met à la place des personnages, on ressent leurs émotions. Même au bout de 6 livres, on reste ébahi devant la capacité de l’auteur à rendre ses héros toujours plus touchants, plus vrais et authentiques mais surtout RÉALISTES !
Avec ce tome, on retombe aux soucis principaux de la saga : Enfants enfermés dans un dôme, sans adultes, délaissés et qui tentent de survivre en retardant l’inévitable. Des personnes qu’on a détestées au début finissent par nous émouvoir. On finit même par les apprécier malgré nous.
La fin est juste exceptionnelle et presque inattendue ! L’auteur a su créer une fin juste comme il fallait. Les adieux font mal car on va se demander qu’est-ce qu’on va faire de notre vie après avoir fini cette saga et surtout un autre livre pourra créer ce sentiment qu’on a ressenti tout le long des tomes… Mais GONE En lisant la dernière ligne du roman, on a du mal a décroché et personnellement, j’ai versé une petite larme. On réalise enfin que ce tome a répondu à toutes nos questions du début : que vont-ils devenir une fois la zone finie, comment vont-ils assumer leurs actes ?
La morale de l’histoire est quand même qu’on ne peut pas être tout blanc ou tout noir, qu’on commet tous des erreurs, des actes dont on pourrait avoir honte et qui nous hanteront jusqu’à la fin de notre vie même pour la meilleure des personnes et que, malgré tout, le pardon, la rédemption sont toujours possibles.
& vous, vous avez ressenti quoi après l’avoir fini?
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