Auteur : Philippe Saimbert Nombre de pages : 285 |
Après le succès de L’héritage de tata Lucie, vendu à plus de 70.000 exemplaires, j’ai le plaisir de vous présenter une nouvelle comédie doublée d’un thriller familial.
La terrible cousine Abeline, aussi riche qu’originale, convie amis et famille dans son domaine pour leur faire une étrange proposition. Elle leur propose un jeu où les participants devront se montrer drôles et machiavéliques.
Elle cédera la moitié de sa fortune à celui ou celle qui remportera le défi.
11 invités. 11 serpents. Le gagnant sera celui qui mordra le plus fort.
Coups de théâtres, scènes cocasses et parfois cruelles vont s’enchaîner jusqu’à l’incontournable twist final.
Merci à Phillipe Saimbert pour m’avoir permis de découvrir sa plume !
Dans « 11 serpents », on est dans la peau de Philippe, un écrivain « médiocre », divorcé avec deux enfants auquel il doit donner une pension alimentaire. Enfin bref, la total. Jusqu’au jour où il reçoit un appel de Abeline. C’est là que tout commence.
On rencontre divers personnages : Frederic, Eva, Zoé, Diane, Hubert, Joseph, Josette, Priscillia, M.Dumond et Bernadette, et bien sûr Abeline ! 11 personnages qui aussi caractériel les uns que les autres. Chacun à sa propre personnalité et cela en devient amusant car ils ne sont pas tous toujours d’accord !
Le but comme indiqué dans le résumé est de remporter le défi. Une fois le spectacle commencé, vous ne pourrez plus vous arrêter !
On voit bien l’espèce humaine quand il s’agit d’argent, tous les coups qu’elle fait juste pour un billet, les gestes égoïstes, individualiste alors qu’ils peuvent tout simplement dire « Et si on partage ? ». Dans ce livre, tous les coups sont aussi foireux, machiavélique que les autres même parfois horribles ! Mais c’est pour ça que j’ai bien aimé ce petit bouquin. On ne sait jamais quel coup foireux et qui, va le faire dans la suite des pages ! Cela laisse un suspens phénoménal avec une pointe d’humour bien entendu. On rebondit d’une surprise à une autre et je n’ai pas pu me détacher du livre.
« Quand le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier. Elle met plus de temps mais elle finit toujours par arriver. » C’est ce qui se passe dans ce livre. Les personnages sont mis dans leurs retranchements, afin de dévoiler une vérité au grand jour, certains ne sont pas très jolies à voir, mais alors pas du tout.
Ce que j’ai particulièrement adoré, c’est la fin. Me faire berner comme ça, c’est une chose réussie ! Chapeau l’auteur, vous avez réussi le pourquoi du comment vous avez écrit votre livre, j’ai passé un bon moment en sa compagnie et ses personnages sadiques.
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