Auteur : Archibald Ploom Nombre de pages : 318 |
Nous sommes au début des années 2000, Karen Traban est en Terminale et vit seule avec une mère dépressive. Elle est brillante, musicienne et adore danser mais l'amour n'est jamais au rendez-vous, les garçons de son âge lui semblent sans intérêt. Quand un jeune anglais, Tom, arrive au milieu de l'année scolaire dans sa classe, Karen le prend immédiatement en grippe... Elle ne sait pas encore que ce jeune homme si différent des autres va changer sa vie. "La première fois que j'ai été deux" est un grand roman d'amour où les sentiments sont intimement liés au cours d'une Histoire qui vit l'Europe s'embraser avant de se reconstruire. Entre la Pologne de ses grands parents, l'Allemagne d'un jeune soldat tombé en 1944 et l'Angleterre de Tom, Karen va découvrir qu'un premier amour peut influencer une vie entière.
"La première fois que j'ai été deux" est un roman profond et intimiste qui peint le passage de l’adolescence à l’âge adulte. On assiste au dévoilement du destin de deux familles emportées par l’Histoire. Archibald Ploom nous propose un récit voyageur et une fresque historique que la naissance d’un amour vient ponctuer comme un message d’espoir.
Merci à Archibald Bloom de m’avoir proposé son roman pour que je le chronique.
Nous sommes en compagnie de la jeune Karen Traban, jeune fille vivant dans une banlieue parisienne dans les années 2000. Elle est en terminal et vit seule avec une mère dépressive. Malgré tout, elle vit sa vie au jour le jour. Le jour où, Tom, un jeune anglais arrive au milieu de l’année scolaire, la vie de Karen change de tout au tout.
C’est un livre qui initie l’amour de l’adolescence à l’âge adulte avec une pointe d’histoire. La nature des sentiments au fil du temps est montrée en profondeur à travers les lignes des pages et que les événements passés peuvent influer sur le présent. Car oui Karen & Tom sont différents par l’histoire et en même lies. Pourquoi ? Karen est « Juive » & Tom, « Allemands », ce qui nous tourne vers l’histoire de la Seconde Guerre mondiale. Le récit nous donne envie de voyager à travers ses pages et nous plonge dans la théorie de l’auteur sur les sentiments amoureux.
L’écriture nous permet de nous interroger, en douceur sur nos sentiments et notre vie future. Je trouve qu’il trouve très bien ses mots même si parfois, il y a des répétitions sous des phrases différentes. Mais j’avoue de ne pas m’être accroché au personnage principal, mais à Tom. Karen m’a un peu ennuyé sur les bords et je n’ai pas forcément était triste pour l’évènement qui se produit à la fin. D’ailleurs, la décision de Karen me fait fortement penser au film « jeux d’enfants ». Mais en tout cas, c’est un livre contemporain plein d’esprit et de profondeur psychologie qui nous permet, peut-être, de nous remettre en question.
En résumé, même si je n’ai pas forcément accroché avec l’héroïne, j’ai passé un bon moment. Ce livre nous montre que le passé influe sur le présent. Un livre qui vaut la peine d’être découvert et qui peut, convenir à une adolescente qui passe à l’âge adulte et qui se pose des questions sur l’amour. Même si parfois, je ne suis pas tout à fait d’accord avec l’auteur.
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